Réseaux sociaux et nouvelles technos ont changé notre façon de lire. Peu à peu, ils influencent même les grands pourvoyeurs de textes : médias, fournisseurs de contenus et même écrivains modifient leurs techniques rédactionnelles. La jeune génération d’auteurs – et plus largement d' »écrivants » – veut dépasser les grands piliers poussiéreux de la littérature à la française : « écrire, ça ne s’apprend pas » ;  « toutes les formes de narration ont déjà été inventées » ; « littérature et commerce n’ont rien en commun ». Et si le web – ses outils comme sa méthodo agile directement inspirée des startupers – permettait de dépasser ces totems ? Et si on renouvelait le roman, le storytelling et le journalisme en même temps par des méthodes créatives innovantes et une approche démocratique du statut d’auteur ?

Réseaux sociaux et nouvelles technos ont changé notre façon de lire. Peu à peu, ils influencent même les grands pourvoyeurs de textes : médias, fournisseurs de contenus et même écrivains modifient leurs techniques rédactionnelles. La jeune génération d’auteurs – et plus largement d' »écrivants » – veut dépasser les grands piliers poussiéreux de la littérature à la française : « écrire, ça ne s’apprend pas » ;  « toutes les formes de narration ont déjà été inventées » ; « littérature et commerce n’ont rien en commun ». Et si le web – ses outils comme sa méthodo agile directement inspirée des startupers – permettait de dépasser ces totems ? Et si on renouvelait le roman, le storytelling et le journalisme en même temps par des méthodes créatives innovantes et une approche démocratique du statut d’auteur ?