Mercredi

15h00 - 16h00

Salle Maxi

L’intelligence artificielle est-elle une personne comme les autres ?

La place croissante de l’intelligence artificielle comme substitut à la décision humaine, qu’elle soit réelle ou fantasmée, pose de nombreuses questions en matière de fiabilité, de responsabilité et de droits des citoyens.

Le parlement européen a d’ailleurs proposé un début de réponses sur ces sujets en introduisant l’année dernière la notion de personnalité juridique du robot dans sa résolution du 16 février.

Cette orientation a suscité l’inquiétude de nombreux professionnels de l’IA et du droit car elle appelle l’instauration d’une directive qui s’imposerait aux états membres de l’union européenne.

Or, l’intelligence artificielle est-elle à ce jour suffisamment avancée pour que l’on en soit à lui accorder un statut qui l’élèverait au même niveau que celui de la personne physique ou morale ?

Quels seraient les avantages et inconvénients d’une telle décision et dans quelle mesure le droit actuel n’est-il pas suffisant pour encadrer le fonctionnement de l’IA ou du robot qui la supporte ?

Je vous propose d’en débattre avec David Sadek, vice-président recherche, technologie et innovation de Thales et Nathalie Nevejans, maître de conférences à l’université de droit de Douai, spécialisée en droit et éthique de la robotique.

Mercredi

15h00 - 16h00

Salle Maxi

La place croissante de l’intelligence artificielle comme substitut à la décision humaine, qu’elle soit réelle ou fantasmée, pose de nombreuses questions en matière de fiabilité, de responsabilité et de droits des citoyens.

Le parlement européen a d’ailleurs proposé un début de réponses sur ces sujets en introduisant l’année dernière la notion de personnalité juridique du robot dans sa résolution du 16 février.

Cette orientation a suscité l’inquiétude de nombreux professionnels de l’IA et du droit car elle appelle l’instauration d’une directive qui s’imposerait aux états membres de l’union européenne.

Or, l’intelligence artificielle est-elle à ce jour suffisamment avancée pour que l’on en soit à lui accorder un statut qui l’élèverait au même niveau que celui de la personne physique ou morale ?

Quels seraient les avantages et inconvénients d’une telle décision et dans quelle mesure le droit actuel n’est-il pas suffisant pour encadrer le fonctionnement de l’IA ou du robot qui la supporte ?

Je vous propose d’en débattre avec David Sadek, vice-président recherche, technologie et innovation de Thales et Nathalie Nevejans, maître de conférences à l’université de droit de Douai, spécialisée en droit et éthique de la robotique.